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Au milieu des années 80, Yves Saint Laurent, ses maisons et son jardin Majorelle, cette parfaite maîtrise de la couleur sans contrainte de style ni de période furent pour lui un véritable choc esthétique. Son amour pour l’art venait de naître.

 

Après avoir étudié la mode et la joaillerie à Paris, sa sensibilité l’attire vers la création d’objets décoratifs. Les bijoux, la sculpture, la céramique, l’objet… pourquoi choisir ? 

Basé en Alsace, il imagine pour la Faïencerie des Émaux de Longwy des graphismes narratifs sublimant les formes emblématiques de la Manufacture. Éditeurs et fabricants d’orfèvrerie, de verrerie, de céramique et de bijouterie lui ouvrent les portes de leurs ateliers et lui donnent carte blanche dans l’élaboration d’objets singuliers.

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Au fil de ses voyages et de ses rencontres entre Milan, Tokyo, Londres, il donne libre cours à toute sa fantaisie et développe son goût pour la couleur, qui le mène naturellement vers la peinture.

 

Son exploration artistique puise dans l’émotion d’une couleur, d’une forme dans l’informe, d’une illusion. 

 

«Le sujet m’importe peu, préférant un sentiment, une paréïdolie, une vibration, une teinte. Alors apparaîtra peut-être un paysage ou un sous-bois ou... J’aime que mes toiles semblent inachevées, en attente de métamorphose.»

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